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Bonne séance !

 

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Amis Tokyoïtes :  J'ai vu les versions sous titrées en français de ces films. Vous les trouverez soit à la bibliothèque de l'ambassade soit chez moi.

Liste par réalisateurs :

Nobody knows de Kore-eda Hirokasu 2004

Tampopo de Itami 1986

L'été de Kikujiro Takeski Kitano 1999

Hanabi de Takeshi Kitano 1997

Jugatsu de Takeshi Kitano 1990

Hara kiri de Kobayashi 1962

Kwaïdan de Masaki Kobayashi 1965

Après la pluie d'Akira Kurosawa 1999

7 samourai de Kurozawa 1955

Le chateau de l'araignée de Kurozawa 1957

Entre le ciel et l’enfer d’Akira Kurosawa 1963

Rashomon de Kurozawa 1950

Ghost in the shell d'Oshii Mamoru 1995

Conte de la lune vague après la pluie de Muzogushin 1953

Kaosu de Hideo Nakata 1999

L'empire des sens d'Oshima 1976

Akira deKatsushiro Otomo, 1988

Fleur d'équinoxe de Yasujirô Ozu 1958

Le goût du saké de Yasujirô Ozu 1962

Blood and bones de Yoichi Sai 2005

Et bientôt :

Sonatine,  Dolls, Il était un père,  Le château de l'araignée, Ran, Voyage à Tokyo...

Classement ante chronologique:

Blood and bones de Yoichi Sai, 2005

avec Kitano

Synopsis : En 1923, un jeune paysan coréen, quitte son île natale et débarque à Osaka. Son obsession : faire fortune. Le film retrace le parcours de cet être à la limite de l’humain dont les actions et réactions imprévisibles vont détruire sa famille.

Mon avis :  Kiatano incarne le rôle à la perfection mais le film ne fait que ressasser la même violence complaisante. L'absence de sens et de synthétisme, la durée trop longue plombe ce film sans grand interêt.

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Nobody knows de Kore-eda Hirokasu 2004

Prix d’interprétation masculine du festival de cannes pour Yagira Yuya qui a 14 ans devient le plus jeune comédien récompensé sur la croisette.

Synopsis : Quatre enfants vivent avec leur mère dans un petit appartement à Tokyo. Ils sont tous de père différent et ne sont jamais allés à l’école. Le propriétaire ignore même l’existence de 3 d’entre eux qui ne devant pas se montrer sont consignés à l’intérieur de l’appartement. Un jour, leur mère disparaît en leur laissant un peu d’argent et un mot à l’attention de l’aîné pour qu’il s’occupe de ses frères et soeurs. Ainsi commence une vie que nobody knows.

Mon avis: Issu d’un fait réel cette histoire émouvante permet de découvrir Tokyo au quotidien loin des clichés touristique. J’ai  adoré

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 Jugatsu de Takeshi Kitano 1990

Titre original : San tai yon ekkusu jugatsu

Synopsis : Pour avoir décoché un coup de poing à un yakuza énervé par sa lenteur, Masaki, jeune pompiste quelque peu hébété, se retrouve dans une situation délicate. Effrayé par les conséquences de son acte et les menaces de destruction qui planent sur la station-service, il demande de l'aide à l'entraîneur de l'équipe de base-ball dans laquelle il joue. Ce dernier, ancien yakuza se fait vertement recevoir et humilier par le chef du gang. Livré à lui-même, Masaki part pour Okinawa avec Kazuo, un de ses coéquipiers, à la recherche d'une arme pour se protéger.

Mon avis : Pas de fond sonore pour ce film violent et quelque peu désordonné. Ce n’est pas mon préféré.

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Après le pluie d'Akira Kurosawa 1999

(Ame agaru)

Synopsis : Dans le Japon féodal, un groupe de voyageurs est bloqué par la rivière en crue dans une petite auberge de campagne. Parmi eux se trouvent Ihei Misawa, un samourai sans maitre qui excelle dans l'art du combat. Il va vite être remarqué par le seigneur de la région qui lui propose de devenir son maître d’armes.

Mon avis :  L’histoire est simple mais les images et les combats très esthétiques.

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Kaosu de Hideo Katana 1999

Synopsis : Un homme se retrouve complice d'un faux kidnapping, celui de la femme d'un riche homme d'affaires qu'elle met elle-même en place. Elle se laisse cloitrer dans sa maison, tandis qu'il envoie la demande de rançon. Mais lorsqu'il rentre chez lui au soir, il retrouve la femme morte, son cadavre allongé sur le sol...

Mon avis :  Un thriller tout en suspens qui n'a rien à envier à Hitchcock

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Hanabi de Takeshi Kitano, 1997

Synopsis :

Vos avis :  beaucoup de violence et de complaisance, je n'ai pas aimé, bien que certains parlent de film culte. (CHdN)

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Ghost in the shell d'Oshii Mamoru, 1995

Synopsis : Le major Motoko Kusunagi, une femme cyborg ultra-perfectionnée, est hantée par des interrogations ontologiques. Le jour où sa section retrouve la trace du 'Puppet Master', un hacker mystérieux et légendaire elle se met en tête de pénétrer  son 'ghost' dans l'espoir d'y trouver les réponses à ses propres questions existentielles...

Mon avis :  Je suis bien rentrée dans l'histoire mais j'ai été déçue par les dessins des personnages, semblables à ceux des dessins animés du mercredi après midi.

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L'été de Kikujiro de Takeski Kitano 1999

Sélection officielle Cannes 1999

Synopsis : Sous la contrainte de sa femme, un ancien yakusa emmène Masao un jeune garçon de 10 ans à la recherche de sa mère. Au fil du voyage semé d'imprévus parfois pénibles, le yakusa s'attache à l'enfant.

Mon avis :  Le voyage est découpé comme un album souvenir. A chaque rencontre, une nouvelle page. Ce récit plein de fraicheur pourra lasser les plus impatients et ravir les autres. A noter que Kitano est à la fois réalisateur, scénariste, monteur et acteur. 

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Akira de Katsushiro Otomo 1988

Synopsis : Dans un Neo-Tokyo post atomique, Kaneda et sa bande vivent la nuit et disputent leur territoire à la bande des Clowns. Tetsuo, un ami de Kaneda, est victime d'un étrange accident lors d'une poursuite à moto. Evacué par des militaires, il sert alors de cobaye à des expériences qui éveillent en lui un pouvoir psychique qui dépasse sa conscience. Il est victime du projet AKIRA...

Mon avis :  Il doit falloir aimer le manga pour apprécier….

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Tampopo de Itami, 1986

Synopsis :

Vos avis :  le seul film japonais qui m'ait fait rire, L'histoire d'une tenancière de boui-boui, qui va, avec l'aide de quelques copains, espionner les restos aux alentours, pour découvrir le secret de la vraie bonne soupe japonaise aux nouilles (la sienne est fade...). Il y a des moments d'anthologie, par exemple quand un groupe de japonaises "upper class" suit des leçons pour apprendre comment manger à l'européenne, en particulier comment manipuler et manger les spaghettis, et aussi les amours sophistiqués d'un yakusa. (CHdN)

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L'empire des sens de Oshima, 1976

Synopsis :

Vos avis :  pas pour tout le monde, inimaginable 5 ans avant, et qui laisse (au minimum) un malaise. (CHdN)

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Kwaïdan de Masaki Kobayashi 1965

Prix spécial du jury à Cannes

Synopsis : Chaque épisode raconte une histoire de fantômes,  issues du folklore traditionnel japonais et adaptées du recueil qu'en a fait Lafcadio Hearn.

Les Cheveux noirs : un samouraï abandonne sa femme par dégoût de la pauvreté, et part se marier avec la fille d'une riche famille pour obtenir la richesse. Mais il n'aime pas sa nouvelle femme et est hanté par le souvenir de la première.

La Femme des neiges : deux bucherons sont pris dans une tempête de neige. Ils trouvent un refuge, mais arrive une femme étrange qui en tue un de son souffle glacial. Elle épargne l'autre, qui gardera la vie aussi longtemps qu'il ne racontera pas ce qui c'est passé cette nuit là.

Hoïchi sans oreilles : un jeune aveugle recueilli par des moines, s'absente chaque nuit pour suivre un étrange guerrier et chanter au maître de celui-ci l'épopée de la bataille qui se déroula dans la baie quelques siècles plus tôt.

Dans un bol de thé : un écrivain retranscrit une histoire où un samouraï voit flotter dans son bol de thé le visage d'un jeune homme narquois. Pour chasser cette vision il avale le thé. Mais bientôt, le jeune-homme refait son apparition.

Mon avis : Considéré comme un chef d’oeuvre du cinéma fantastique japonais, ce film plonge dans le japon féodal.  La prise de vue est incroyable, les comédiens ne marchent pas : ils lévitent. Il faut toutefois aimer le style fantastique et ne pas craindre des longueurs. Mon histoire préférée : celle du jeune Hoïchi.  

Vos avis : Très beau (CHdN)

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Entre le ciel et l’enfer d’Akira Kurosawa 1965

Synopsis : Ayant des problèmes avec les directeurs, Gondo planifie une stratégie pour prendre le contrôle des actions de la société qu'il codirige. Il hypothèque sa maison et ses biens. Au moment de conclure l’affaire son fils disparaît et un criminel réclame à Gondo une rançon proche de la somme qui devait servir à son fameux deal.  Peu de temps après, le jeune garçon revient. C'est son compagnon de jeu, le fils du chauffeur, qui a été kidnappé, mais le ravisseur réclame toujours la rançon. Après maintes tergiversations, Gondo accepte de payer la rançon. La police se livre alors à la chasse au criminel dans la ville.

Mon avis : Excellent film policier tout en suspense. 40 ans après sa sortie, ce film n’est ni ringard, ni obsolète. J’ai beaucoup aimé.

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Le goût du saké de Yasujirô Ozu 1962

Synopsis : Un père, veuf, vit avec sa fille et son dernier fils. Un ami lui reproche de trop enfermer sa fille et lui propose un gendre. Cédant à son angoisse de la solitude et à son égoïsme, il nie tout d’abord la nécessité du mariage mais l'évènement devient inéluctable lorsqu'il croise la fille d'un de ses anciens professeurs, qui a sacrifié sa jeunesse pour s'occuper de son père.

Mon avis : Les plans sont longs, fixes, les décors dépouillés, l’histoire lente. Le japon des années 50 avec des thèmes chers à Ozu : la solitude et la séparation et toujours les mêmes acteurs.  

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Hara-kiri de Kobayashi, 1962

Synopsis :

Vos avis :  ou comment une société hypocrite oblige un type au suicide (avec un sabre de bois, c'est plus douloureux, mais plus en accord avec la tradition), en jouant sur son honneur.(CHdN)

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Fleur d'équinoxe d'Ozu, 1958

Synopsis : Un homme d'affaires se montre fort réticent lorsqu'il apprend que sa fille veut épouser un gendre qu'il n'avait pas envisagé. Elle organise le mariage sans son aide et c'est contre sa volonté qu'il y assiste. Le couple part ensuite pour Hiroshima. Poussé par ses amis, il surmonte ses convictions et va les visiter.

Mon avis :  Le beau rôle est donné aux femmes ce qui assez rare pour être souligné. C’est le premier film en couleur d’Ozu, trop long à mon goût mais il en jaillit par moment des pointes d’humour ce qui mérite également d’être souligné.

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Le chateau de l'araignée d'Akira Kurosawa, 1957

Synopsis :

Vos avis :  Kurosawa  a réussi une parfaite transcription de Macbeth au Japon du Moyen-âge, avec les sorcières, la forêt qui marche et la redoutable Lady M.(CHdN)

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7 samourai de Kurozawa, 1955

Synopsis :

Vos avis :  classique des classiques (CHdN)

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Contes de la lune vague après la pluie de Muzogudhin, 1953

Synopsis :

Vos avis :  très poétique (CHdN)

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Rashomon de Kurosawa, 1950

Synopsis :

Vos avis :  un événement (agression, viol ?) raconté différemment par quatre témoins : de la difficulté ou de l'impossibilité d'établir la vérité.(CHdN)

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